http://revue-uroandro.org/index.php/uro-andro/issue/feedRevue Africaine d' Urologie et d'Andrologie2021-12-29T13:45:25+01:00Serigne Magueye GUEYEsmgueye@orange.snOpen Journal Systems<p>Les manuscrits doivent être uniquement électroniques et accompagnés d’une lettre de soumission signée au moins par les trois premiers auteurs. Celle-ci stipule clairement que le manuscrit n’est ni soumis à publication, ni publié dans un autre journal scientifique et qu’en cas d’acceptation définitive, tous les droits d’auteur seront entièrement versés à la «Revue Africaine d’Urologie-Andrologie».</p>http://revue-uroandro.org/index.php/uro-andro/article/view/394ETUDE DES ASPECTS CLINIQUES ET THERAPEUTISUES DES UROPATHIES OBSTRUTIVES EN MILIEU RURAL CAS DU CENTRE DE SANTE DE REFERENCE (CSREF) BANAMBA/BAMAKO2021-12-12T19:28:22+01:00daouda sangaredaoudasang677@gmail.com<p><strong>Résumé :</strong></p><p><strong>Objectif :</strong> Etudier les aspects cliniques et thérapeutiques des uropathies obstructives en milieu rural cas du Centre de santé de référence (Csréf) de Banamba une structure primaire de la pyramide sanitaire située à quelque 140 km au Nord -Est de Bamako.</p><p><strong>Patients et méthode :</strong> Il s’agissait d’une étude rétrospective et descriptive, entre Janvier 2016 et Décembre 2018.</p><p><strong>Résultats :</strong> nous avons colligé 66 patients soit 8,3% des activités du bloc opératoire. L’âge moyen de nos patients était de 55,7±21 ans. Le sexe masculin était majoritaire soit 95,4%. Les motifs de consultations les plus fréquents ont été les troubles urinaires du bas appareil 43,9% suivis des rétentions aigue et chronique d’urine vésicale respectivement 24,2% et 19,7 %. Les principales étiologies retrouvées sont d’hypertrophie prostatique 65,1%, lithiase vésicale 12,1%, urétérovesicale 7,6%, lithiase urétrale enclavée 4,5%, valve de l’urètre postérieur 3,03%, sténose urétrale 3,03% ,1 cas de syndrome de jonction pyélo-urétérale, un cas de lithiase pyélique et un cas de lithiase urétérale soit chacun 1,5% chacun. Un sondage transurétral effectué chez 27 patients et un cathétérisme sus-pubien chez deux patients. Les principales procédures chirurgicales furent 43 cas d’adénomectomie transvésicale de la prostate, 11 cas de cystolithotomie, 5 cas de réimplantation urétérovesicale directe, 2 cas d’urétroplastie, 2 cas de sondage itératif pour valve de l’urètre postérieur, 1 cas de pyéloplastie, 1 cas d’ureterolithotomie et 1 cas de pyéloplastie. La créatininémie de contrôle post-opératoire est restée élevée chez 3 patients. Les suites opératoires ont été simples chez 57 patients.</p><p><strong>Conclusion :</strong> Une prise en charge adéquate<strong> </strong>des uropathies obstructives passe par une amélioration du plateau technique, la formation et le redéploiement du personnel qualifié dans nos structures périphériques.</p><p><strong>Mots-Clés :</strong> Uropathie obstructive-Néphropathie obstructive-Banamba-Mali</p>2021-12-12T19:26:05+01:00Droit d'auteur (c) 2024, Revue Africaine d' Urologie et d'Andrologiehttp://revue-uroandro.org/index.php/uro-andro/article/view/372LES LESIONS UROLOGIQUES SECONDAIRES A LA CHIRURGIE GYNECO-OBSTETRICALE DANS LE SERVICE D'UROLOGIE DU CHU POINT-G.2021-12-12T19:37:13+01:00Cheickna Badiagacbadiaga2000@yahoo.fr<p>Objectif : Etudier les aspects cliniques, diagnostiques, thérapeutiques et évolutifs des lésions urologiques secondaires à une chirurgie gynéco-obstétricale au service d’urologie du CHU Point-G.</p><p><strong><span style="text-decoration: underline;">Matériel et méthode</span></strong><strong> : </strong></p><p>Il s’agit d’une étude transversale et rétrospective réalisée dans le service d’urologie du CHU Point-G de Bamako sur 5 ans du 1<sup>er</sup> juin 2014 au 1<sup>er</sup> juin 2019. </p><p>Elle a porté sur les dossiers de 71 patientes opérées pour une lésion urologique secondaire à la chirurgie gynéco-obstétricale.</p><p>Les caractéristiques socio-démographiques, épidémiologiques, diagnostiques, thérapeutiques et évolutifs ont été analysées.<strong> </strong></p><p><strong><span style="text-decoration: underline;">Résultats</span></strong><strong> : </strong></p><p>Durant la période d’étude, nous avions opéré 1928 patients dans le service.</p><p>Les lésions urologiques secondaires à une chirurgie gynéco-obstétricale étaient retrouvées chez <strong>3,7 %</strong> des patients.</p><p>L’âge moyen des patientes était de 31,8 ans (extrêmes : 15 et 60 ans).</p><p>Les patientes étaient majoritairement des ménagères 65 (92 %).</p><p>Le délai moyen du diagnostic était de 130 +/- 15 jours (extrêmes : 0 et 365 jours).</p><p>Les signes cliniques révélateurs étaient : une fuite d’urine (62 %), la douleur lombaire (28 %), une oligo anurie (10 %).</p><p>Le diagnostic a été posé par le test au bleu de méthylène chez 59 % des patientes, par l’uro-scanner (24 %) et par l’urographie intraveineuse (11 %).</p><p>Chez 6 % des patientes le diagnostic a été posé en per-opératoire.</p><p>Les interventions chirurgicales en cause étaient : la césarienne 35 (49 %), l’hystérectomie 29 (41 %), la kystectomie ovarienne 4 (6 %), la Cure de prolapsus génital 3 (4 %).</p><p>Les lésions étaient dominées par les fistules vésico-vaginales 30 (42 %) suivies des fistules cervico-urétrales 22 (31 %), des fistules urétéro–vaginales 12 (17 %), des ligatures urétérales 4 (6 %), une plaie urétérale 3 (4 %).</p><p>Le traitement avait consisté en une fistulorraphie (73 %), une réimplantation urétéro-vésicale selon Lich Grégoire avec intubation urétérale (23 %), urétérorraphie sur sonde d’intubation urétrale (4 %).</p><p>La guérison avait été obtenue chez 67 patientes (95 %).</p><p><strong><span style="text-decoration: underline;">Conclusion</span></strong><strong> :</strong></p><p>L’hystérectomie pour tumeur maligne du col de l’utérus et la césarienne sont les principales pourvoyeuses de lésion urologique secondaire à la chirurgie gynéco obstétricale. La chirurgie ouverte est la seule alternative pour la prise en charge de ces lésions dans notre contexte. La maitrise de l’anatomie est la principale mesure préventive.</p><p><strong>Mots-clés : </strong>Lésions urologiques ; chirurgie gynéco-obstétricale.</p>2021-12-12T19:36:33+01:00Droit d'auteur (c) 2024, Revue Africaine d' Urologie et d'Andrologiehttp://revue-uroandro.org/index.php/uro-andro/article/view/441TRAITEMENT DE L’INCONTINENCE URINAIRE D’EFFORT PAR BANDELETTES SOUS URETRALE A L’HOPITAL GENERAL IDRISSA POUYE2021-12-29T13:45:25+01:00Mohamed Jallohjmohamed60@yahoo.frMédina Ndoyejmohamed60@yahoo.fr<p><strong>Introduction</strong> : L’incontinence urinaire d’effort (IUE) est très fréquente chez la femme. La chirurgie mini invasive par pose de bandelette sous urétrale est un traitement de choix. L’objectif de notre étude était de décrire les aspects épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques des premiers cas d’incontinence urinaire d’effort traités par bandelette sous urétrale au service d’urologie de l’Hôpital Général Idrissa Pouye (HOGIP).</p><p><strong>Matériels et Méthodes</strong> : Nous avions mené une étude descriptive transversale sur les femmes présentant une IUE et traitées par bandelette sous urétrale à HOGIP de 2006 à 2020. Les données collectées étaient l’âge, la parité, les antécédents médico-chirurgicaux, les caractéristiques de la fuite, l’examen clinique, le traitement et ces résultats. L’analyse statistique a été réalisée sur la base des calculs de moyenne (écart-type) et de proportion. Le seuil de significativité statistique a été fixé à alpha = 5%.</p><p><strong>Résultats</strong> : Nous avions colligé 12 patientes d’âge moyen de 41 ans (écart type : 20,94 ; extrêmes : 25 et 73 ans). Il s’agissait d’1 nullipare et 42% de grandes multipares. Le délai moyen de consultation était de 2,5 ans, 50% des patientes avaient 1 incontinence de 1<sup>er</sup> stade et 33% une incontinence de 2<sup>e</sup> stade. Cliniquement les fuites étaient corrigées par la manœuvre d’Ulmsten. Le traitement consistait en la pose de bandelettes de Tension-free Vaginal Tape (TVT) (n= 8) et de Trans Obturator Tape (TOT). A l’ablation de sonde, il n’y avait pas<strong> </strong>de fuites urinaires chez toutes les patientes. Une rétention d’urines a été notée chez une patiente à J2 post opératoire. Un cas de fuite a été noté à J15 post-opératoire puis réopéré à 2 mois post opératoire. Une infection urinaire a été notée chez 3 patientes.</p><p><strong>Conclusion</strong> : L’âge et la grande la parité sont les facteurs aggravant retrouvés dans notre série d’IUE. La chirurgie par bandelettes TVT et TOT est efficace, réalisable et sans complications majeures. Un suivi prolongé permettra de mieux évaluer les résultats à long terme.</p>2021-12-12T19:44:08+01:00Droit d'auteur (c) 2024, Revue Africaine d' Urologie et d'Andrologiehttp://revue-uroandro.org/index.php/uro-andro/article/view/442PRISE EN CHARGE DE L’HYPERTROPHIE BENIGNE DE LA PROSTATE AU CENTRE HOSPITALIER ET UNIVERSITAIRE DE BRAZZAVILLE2021-12-12T19:53:47+01:00Anani Wencesl Séverin ODZEBEodzebe_s@yahoo.fr<p><strong>Objectif : </strong>Étudier les aspects épidémiologiques, diagnostiques et thérapeutiques de l’HBP au CHU de Brazzaville (CHU-B).<strong> Patients et méthode :</strong> Il s’agissait d’une étude descriptive à recueil de données rétrospective, réalisée dans le service d’urologie-andrologie du CHU-B, sur une période de 6 ans. Elle a concerné 485 dossiers de patients hospitalisés pour HBP. <strong>Résultats :</strong> Nous avons enregistré 3085 dossiers des patients hospitalisés. Parmi eux, 485 ont été admis pour une HBP soit une fréquence de 15,7%. L’âge moyen des patients était de 63,5% ± 13,8 ans. Le délai moyen de consultation était de 26 +/- 8 mois. Le motif de consultation était dominé par la dysurie dans 284 cas (58,5%) et la rétention complète d’urine dans 198 cas (40,8%). L’examen clinique avait permis d’objectiver une dysurie chez 287 cas (59%) et un globe vésical dans 121 cas (25%). Dans tous les cas, la prostate était augmentée de volume au toucher rectal. Le taux moyen du PSA était de 3,3ng/ml (extrêmes : 0,4 et 22 ng/ml). Les complications liées à l’HBP étaient retrouvées chez 317 patients (65,4%). Le traitement était chirurgical dans 363 cas (75%). La chirurgie ouverte était pratiquée chez 298 patients (82%). L’évolution post adénomectomie prostatique était compliquée chez 122 patients (41%). Nous avons enregistré neuf décès (2,4%). <strong>Conclusion :</strong> l’HBP est une pathologie fréquente dans notre pratique quotidienne. Elle affecte les patients de plus de 50 ans. Il s’agit d’une affection bénigne dont la gravité est liée aux complications qu’elle engendre.</p><p><strong>Mots clés : </strong>Hypertrophie bénigne prostate, CHU, Brazzaville<strong></strong></p>2021-12-12T19:53:04+01:00Droit d'auteur (c) 2024, Revue Africaine d' Urologie et d'Andrologiehttp://revue-uroandro.org/index.php/uro-andro/article/view/312ECTOPIE RENALE CROISEE : A PROPOS D’UN CAS2021-12-12T20:22:10+01:00Mamadou Lamine Diakitédiakite.mlamine@hotmail.fr<p><span style="font-family: Calibri;">Résumé </span></p><p><span style="font-family: Calibri;">L’ectopie rénale croisée est une anomalie congénitale très rare. Elle désigne une transposition des 2 reins sur un même coté. Les 2 reins peuvent être fusionnés ou pas donnant l’aspect de reins superposés. La découverte est fortuite par d’une imagerie ou au décours d’une autopsie. Elle est le plus souvent asymptomatique. Nous vous rapportons un cas d’ectopie rénale croisée sans fusion des extrémités de découverte fortuite chez une patiente au cours de son bilan prénatal et de faire une revue de la littérature</span></p><p><span style="font-family: Calibri;"><em> Mots clefs : ectopie rénale ; malformation congénitale ; découverte</em> fortuite </span></p><pre><span style="font-family: Courier New; font-size: small;"> </span></pre><p><span style="font-family: Calibri;">Abstract </span></p><p><span style="font-family: Calibri;">Crossed renal ectopia is a very rare congenital anomaly. It was a transposition of 2 kydneys on the same side. Both roles can be merged or donated. Discovery is fortuitous by imaging or autopsy. It is most often asymptomatic. We report a case of cross-renal surgery without fusion or complete discovery with a patient during her antenatal check-up and to review the literature</span></p><em>Key words: renal ectopia; congenital malformation; fortuitous disco</em>2021-12-12T20:14:57+01:00Droit d'auteur (c) 2024, Revue Africaine d' Urologie et d'Andrologiehttp://revue-uroandro.org/index.php/uro-andro/article/view/354MIGRATION TRANS-UTERO-VESICALE D’UN DISPOSITIF INTRA-UTERIN AVEC FORMATION DE CALCUL : à propos de 03 cas.2021-12-12T20:28:31+01:00Chaymae Hajjarchaymae.hajjar@usmba.ac.ma<p><strong>Introduction :</strong></p><p>Le dispositif intra-utérin DIU constitue un des moyens de choix pour la contraception non définitive surtout dans les pays en voie de développement. Comme tout corps étranger, il est non dénué de complications surtout s’il est mal suivi. Si les infections gynécologiques passent au 1<sup>er</sup> plan, sa migration Trans-utérine, bien que rare, doit être toujours présente à l’esprit.</p><p class="textenormal1">La lithogenèse sur le dispositif intra-utérin (DIU) est l’éventualité la plus fréquente en cas de migration intra-vésicale. Nous rapportons l’expérience du CHU HASSAN II de Fès avec trois cas de migration trans-utéro-vésicale d’un DIU , compliqués de lithiase.</p><p><strong>Objectifs :</strong></p><p class="textenormal1">Le but de ce travail était d’illustrer les mécanismes étiopathogéniques de cette complication, ainsi que les moyens d’imagerie diagnostiques appropriés.</p><p><strong>Conclusion : </strong></p><p>La contraception par stérilet reste un moyen de régulation des naissances simple, sûr, efficace, économique et réversible. Cependant, il n’est pas indemne de complications ; la migration trans-utéro-vésicale avec formation d’un calcul vésical est aussi bien rare que grave. Le couple échographie pelvienne-AUSP est indispensable pour le diagnostic. La cystoscopie reste le moyen diagnostic le plus fiable, puis thérapeutique. Elle peut être précédée d'une lithotritie en cas de calcul associé, et complétée ou non par une taille vésicale en cas de complications.</p><p><strong>Mots clés :</strong> DIU - Migration – calcul vésical – imagerie.<strong></strong></p>2021-12-12T20:27:04+01:00Droit d'auteur (c) 2024, Revue Africaine d' Urologie et d'Andrologiehttp://revue-uroandro.org/index.php/uro-andro/article/view/389KYSTE HYDATIQUE LATERO VESICAL (UN CAS ET REVUE DE LA LITTERATURE)2021-12-12T20:33:28+01:00youssef bencherkibencherki.y@outlook.com<p>Le kyste hydatique est une affection parasitaire due au taeniagranulosis, considérée comme une zoonose atteignant aussi bien l'homme que les animaux.</p><p>La localisation latéro-vésical exceptionnelle, est due au développement du parasite (Echinococcusgranulosus) dans la graisse sous et retro vésicale. </p><p>A travers une observation médicale, les auteurs vont mettre en exalte les aspects diagnostic et thérapeutique de cette localisation très rares de kyste hydatique.</p>2021-12-12T20:32:15+01:00Droit d'auteur (c) 2024, Revue Africaine d' Urologie et d'Andrologiehttp://revue-uroandro.org/index.php/uro-andro/article/view/436DYSPLASIE RÉNALE MULTIKYSTIQUE ET ECTOPIE CROISÉE SUR REIN GAUCHE, COMPLIQUÉE DE SURINFECTION. A PROPOS D’UN CAS OBSERVE AU CHU DE KAMENGE2021-12-12T20:38:26+01:00Thoto Shabani MAREBOtmarebo@yahoo.fr<p>Nous rapportons l’observation d’un nourrisson de 4 mois suivi pour une dysplasie rénale multikystique compliquée de surinfection sur un rein ectopique croisé dont le diagnostic était posé en anténatal et confirmé en post natal.</p><p>La NFS montre une hyperleucocytose à 16.000 à prédominance polynucléaire neutrophile.</p><p>Le traitement était chirugical et consistait à une néphrectomie gauche du rein ectopique croisé multikystique; l’examen bactériologique du liquide kystique était d’aspect trouble, purulent et avait isolé Escherchia coli sensible au Céfotaxime.</p><p>Les suites opératoires avaient été simples et la sortie lui avait été autorisée à J10 post opératoire.</p><p>Notre travail s’intéresse sur la prise en charge d’un cas extrêmement rare de dysplasie rénale multikystique compliqué de surinfection sur un rein ectopique croisé</p><p> </p><p>Mots Clés : Rein, Dysplasie, ectopie croisée, néphrectomie</p><p> </p><p>SUMMARY</p><p> </p><p>We report the observation of a 4 month old infant followed for a multicystic renal dysplasia complicated by superinfection on a crossed ectopic kidney whose diagnosis was made in antenatal and confirmed in postnatal period.</p><p>The blood test shows a 16,000 leukocytosis predominantly neutrophilic polynuclear.</p><p>The treatment was surgical and consisted of a left nephrectomy of the multicystic crossed ectopic kidney; the bacteriological examination of the cystic fluid was cloudy, purulent and had isolated Escherchia coli sensitive to Cefotaxime.</p><p>The post-operative follow-ups were simple and he was allowed out on D10 post-operative.</p><p>Our study focuses on the management of an extremely rare case of multicystic dysplastic kidney complicated on an ectopic cross-over kidney</p><p> </p><p>Key Words: Kidney, Dysplasia, crossed ectopia, nephrectomy</p>2021-12-12T20:37:16+01:00Droit d'auteur (c) 2024, Revue Africaine d' Urologie et d'Andrologiehttp://revue-uroandro.org/index.php/uro-andro/article/view/337URETEROCELE PROLABEE AU MEAT URETRAL OCCASIONNANT UNE DESTRUCTION RENALE2021-12-12T20:44:35+01:00ABROULAYE FOFANAf.abroulaye@yahoo.fr<p><strong>But : </strong>Présenter un cas d’urétérocèle vu tardivement en milieu spécialisé ayant abouti à une destruction rénale.</p><p><strong>Justification</strong> : préserver le parenchyme et la fonction rénale</p><p><strong> Notre observation : </strong>Mademoiselle F.D., 36 ans, a été reçu en consultation d’urologie pour hydronéphrose gauche et anémie. Elle présentait une douleur lombaire gauche évoluant depuis 13 ans. Elle avait constaté une excroissance réductible au méat urétral. Elle aurait reçu des soins chez un tradipraticien et l’excroissance aurait disparu pendant un certain temps pour réapparaître au bout de deux ans. A l’examen en décembre 2014, l’on a découvert une excroissance irréductible, nécrotique ; avec globe vésical, mou et indolore traduisant une rétention chronique d’urines. Le diagnostic de prolapsus d’un urétérocèle fut évoqué puis confirmé par l ’uroscanner et l’urétrocystoscopie. Une néphrectomie a été réalisée. La pièce opératoire permettait de noter une dilatation urétérale avec épaississement de la paroi urétérale et un petit rein pyonéphrotique. Les suites opératoires immédiates furent simples, l’anémie s’était corrigée et la fonction rénale était redevenue normale. Quatre (4) ans après l’intervention, la patiente ne signalait aucune plainte fonctionnelle et la fonction rénale restait toujours normale.</p><p><strong>Conclusion</strong> : l’urétérocèle est une malformation congénitale dont le diagnostic évoqué par la clinique repose sur l’imagerie (uroscanner). Sa découverte précoce permet de sauvegarder les reins d’où la nécessité d’un diagnostic précoce et cela grâce au scanner au moindre doute.</p><p><strong>Mots-clés :</strong> urétérocèle – malformation – uroscanner – hydronéphrose - insuffisance rénale - néphrectomie</p>2021-12-12T20:41:41+01:00Droit d'auteur (c) 2024, Revue Africaine d' Urologie et d'Andrologiehttp://revue-uroandro.org/index.php/uro-andro/article/view/440STRANGULATION DU PENIS PAR ANNEAU MÉTALLIQUE : A PROPOS D’UN CAS.2021-12-12T20:51:36+01:00Mah Sarah Diabydiabysarah@yahoo.frYamingué Ngueidjonyamingue@gmail.comMohamed Jallohjmohamed60@yahoo.frArmand Chinamulachinamulaarmand@gmail.comMadina Ndoyemadina_ndoye@yahoo.frIssa Laboulaboukamya@yahoo.frAbdourahmane Dialloneodiallo@hotmail.frLamine Niangnianglamine72@yahoo.frSerigne Magueye Gueyedrsmgueye@gmail.com<p>La strangulation du pénis par un anneau est un événement rare dont le pronostic dépend de la précocité de la prise en charge. Elle rentre dans le cadre des automutilations des organes génitaux externes. Les objets utilisés le plus souvent sont des anneaux métalliques sur le pénis pour augmenter les performances sexuelles ou dans des intentions auto-érotiques ou parfois à la suite de troubles psychiatriques.</p><p>Nous rapportons un cas chez un patient âgé de 32 ans sans antécédents pathologiques. Cliniquement, il a présenté un globe vésical douloureux puis une tuméfaction de la verge en aval de la bague d’étranglement. Le traitement a consisté à un drainage sus pubien puis à l’ablation de la bague et une prise en charge psychiatrique.</p><p>Cependant il faut redouter la survenue de complications urinaires et sexuelles en fonction du degré de strangulation et la durée d’évolution qui nécessite une prise en charge précoce.</p><p><strong>Mots clés</strong> : automutilation, strangulation pénienne, rétention d’urines, psychose</p>2021-12-12T20:50:58+01:00Droit d'auteur (c) 2024, Revue Africaine d' Urologie et d'Andrologie